Kuraya

Fiche du Personnage

Surnom: Yaya (attribué par les louveteaux)
Race : Loup
Age: 2 ans
Rang dans la meute/clan : Courtisan (gardien des enfants) / centre
Rôle dans le camp : -
Orientation sexuelle : Pansexuel

Caractère

Caractère général : Kuraya est un ours en peluche géant à la forme d'un loup. La seule idée de blesser quelque chose de vivant (qui n'est pas une plante) le répugne. Il est heureux en général, calme, patient, et il apprécie les choses simples dans la vie. Il adore les louveteaux et jouer avec eux (il aime jouer en général en fait) et il est loyal à ses amis. Bien qu'il ne veuille pas blesser ou se battre et qu'il essaie d'éviter le plus possible, il n'accepte pas qu'on touche à ses protégés et fera tout ce qui est en son pouvoir (y compris se battre) pour garantir leur sécurité.
Qualités: Calme, patient, enjoué, bon-vivant, amical, loyal, protecteur
Défauts: Naif, soumis à l'autorité, sensible, relativement fragile moralement, pacifiste
Aime: Les louveteaux, les fleurs, la viande, la beauté en général
Déteste: Les gens méchants sans raison, les disputes, qu'on le manipule, qu'on touche à ses protéger.

Physique

Physique général : La première chose que l’on peut remarquer de Kuraya, c’est sa taille. Atteint de gigantisme, il est beaucoup plus imposant que la moyenne, paraissant pour un géant à côté des autres.  En effet, il fait 1m au garrot! Son air, toutefois, est plutôt celui d’un ange. Toujours doux, amical, compatissant ou aimable, le gentil géant n’est pas du tout intimidant quand on prend le temps de le regarder. Bien qu’il soit plus gros et lourd (donc un peu plus fort physiquement, quand même), il est en échange beaucoup moins agile et rapide. Plus endurant, il ne peut pas non plus performer à la course aussi bien que les autres. Ceci n’est pas aidé du tout par ses petits problèmes de santé. Son organisme ayant crû rapidement, il en fait de l’arthrite par les jours de pluies, ou lorsqu’il a trop dépensé d’énergie à jouer. Son système immunitaire est aussi plus faible, et il attrape le rhume et la grippe plus facilement.

La couleur principale de sa fourrure est un noir qui semble renvoyer la lumière en violet foncé, et il parsemé de grosses rayures aux rebords pourpre qui se dégrade rapidement vers un blanc pur contrastant avec le reste de la fourrure. Ailé, les plumes sur les ailes de Kuraya n’échappe pas aux « jeux de lumière » qui semblent le composer : noires à leurs bases, elles se dégradent vers le violet, puis le blanc, à la pointe. Cependant, malgré leur envergure proportionnées à sa taille, sa carrure à la hauteur de son gigantisme l’alourdie trop pour qu’elles ne puissent le porter. Il ne peut donc pas voler. Les coussinets du canidé sont gris et ses griffes noires, comme ses gencives, sa truffe et le coin de ses yeux. L’intérieure de ses oreilles, au lieu d’être rose comme sa langue, est aussi d’un dégradé de pourpre vers du blanc. Il a aussi une sorte de X déformé qui fait penser à une fleur, sur le torse.

Petit fait intéressant : Kuraya semble avoir une chevelure, composée de nombreuses plumes sur son crâne qui bougent en fonction de ses mouvements. Quand il penche la tête, elles se hérissent un peu comme les piquants d’un hérisson.

La dernière chose à noter est son regard. Ses yeux déstabilisants sont tout à fait l’inverse l’un de l’autre! L’œil gauche est pourpre près de la pupille et se dégrade vers l’or du côté extérieur de l’iris, tandis que le droit est doré au centre et se dégrade vers le pourpre.

Type de la mutation : Importante

Description de la mutation : Les rayures et le bout des plumes de Kuraya brillent dans le noir (autre que les ailes qui ne peuvent pas le porter qu'il a hérité de ses parents et sa couleur... à la fois ténébreuse et lumineuse). Il ne contrôle pas sa mutation, il est bioluminescent, tout simplement, et il brille dans le noir, qu'il le veuille ou non. Ceci dit ça fait une veilleuse parfaite pour les enfants.

Histoire

La première chose qu’on a su sur Kuraya, c’était qu’il était trop gros. Atteint de gigantisme, son corps avait déjà des problèmes de taille dans le ventre de sa mère. Il y avait alors deux options : ouvrir la mère pour le sortir, ce qui la tuerait, ou alors la laisser accoucher et risquer de perdre aussi le bébé. La mère de Kuraya a donc été sacrifiée pour lui permettre de vivre. La perte de la louve n’a pas vraiment affecté personne, puisque c’était à l’origine une vagabonde qui avait su charmer le despote et avait été intégrée (ce qui en faisait un cas exceptionnelle, mais que personne ne regretta). L’enfant fut tout de même gardé comme membre de la meute, malgré son nom « exotique ».

Par la suite, il grandit relativement normalement. Toujours affamé et vorace, il a été un pur cauchemar pour les nourrices qui ont pris soin de lui et qu’il vidait sans laisser une goutte de lait aux autres. Il s’est cependant stabilisé quand il a commencé à se nourrir d’autre chose que du lait. Mangeant plus que la normal, ça restait néanmoins raisonnable.

Dès son plus jeune âge on a découvert sa mutation, et déjà il a créé des complications. Le petit Kuraya brillait dans le noir, tout simplement. Il produisait sa propre lueur qui ne permettait pas d’éclairer vraiment loin mais qui se faisait un plaisir d’empêcher les nourrices de dormir, car le petit géant ne dormais que blottit contre une nourrice, sinon il passait ses nuits à pleurer.

Aussitôt qu’il atteint l’âge de se débrouiller seul, il commença à aider les nourrices. Gros comme un adulte, déjà, il lui était facile de suivre le rythme. Inépuisable, il jouait avec les petites et les surveillait en même temps, l’instinct protecteur très développé.

Bien que plus gros et plus fort, jamais Kuraya ne manifesta la moindre petite étincelle de méchanceté, de jalousie ou peu importe ce qui pourrait le pousser à blesser quelqu’un. Au contraire, il ne démontrait aucune volonté de blesser, que ce soit volontaire ou non. Faisant toujours bien attention et ne manifestant aucune impulsion ni aucune agressivité, le gros nounours toux doux était le partenaire de jeu idéal pour les petits. Incapable de devenir guerrier pour la meute, ni même chasseur (car bien qu’il aime la viande, l’idée de blesser un animal, même pour se nourrir, le dégoûtait), il devint tout simplement et naturellement le gardien attitré des enfants, sans que le passage ne soit réellement clair : il avait toujours veillé sur les petits, et il continuait, c’était seulement maintenant officiel.

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